On connaissait « domino-day », on pourra dire que 2008 fut « domino-year ».
Il suffit de se souvenir et de regarder de manière ludique les effondrements économiques et financiers en cascade qui se produisirent et l’empilement de ruines qu’offrait alors le paysage.
Mais rien n’y fit. Tout est « réparé » dirait-on et la machine est repartie comme « avant », aussi vaillante. Avec peut-être encore un peu plus d’insolence si c’est possible.
A part que …
Après l’Islande, l’Irlande … la Grèce se dévoue pour être l’arbre qui cache la forêt.
Mais qu’importe ! La crise, ce n’est pas pour tout le monde, seulement pour ceux qui gagnent le moins, ceux qui ne trichent pas ou si peu et payent un maximum.
La crise c’est le nom que l’on donne à la pratique qui consiste à crier « Au feu ! » (du haut de sa toute puissante autorité) pendant qu’on vous fait les poches.